De Walter Spanghero à Vincent Clerc, quinze personnalités nous racontent leur passion du ballon ovale à travers 150 mots et expressions phares de ce sport. L’occasion de traverser plus de 60 ans d’histoire du rugby !
Le rugby a une langue bien à lui !

Entraînées par Philippe Spanghero, quinze personnalités du rugby nous racontent leur passion à travers 150 mots et expressions phares.

De Walter Spanghero à Vincent Clerc, en passant par Marjorie Mayans, toutes et tous se donnent le mot pour nous faire (re)vivre l’émotion des vestiaires, l’appréhension avant le coup d’envoi, l’énergie de la mêlée, l’euphorie de la conquête, les souvenirs de leurs plus grands matchs… L’occasion de traverser plus de soixante ans d’histoire du ballon ovale !

Les linguistes Médéric Gasquet-Cyrus et Arnaud Richard se joignent à la mêlée pour apporter leur expertise et nous livrer les secrets de ces mots et expressions.

Avec les témoignages de Vincent Clerc, John Carlin, Thierry Dusautoir, Romain Fornell, Guilhem Garrigues, Omar Hasan, Daniel Herrero, Nathalie Iannetta, Greg Lamboley, Olivier Magne, Marjorie Mayans, Tendai Mtawarira, Romain Poite, Jean-Pierre Rives, Nicolas et Walter Spanghero.

Il pleut. Elle a un parapluie, il n’en a pas. Un dimanche soir, devant l’enseigne d’un cinéma d’art et d’essai de la capitale, elle l’invite à s’abriter. Et c’est la foudre, soudain, qui s’abat sur lui…

Premier roman trépidant, baroque, La Vénus au parapluie entraîne le lecteur dans une cavalcade amoureuse. Thibaud Gaudry mêle langue poétique et fantaisie. Avec, en toile de fond, un amour profond pour Paris et les vieilles comédies américaines.

1943. La libération de la Corse s’engage. Elle est le défi d’un homme seul contre tous : le général Giraud. Contre l’avis des Alliés et du général de Gaulle, en moins de trois semaines, avec des pertes minimes et au prix d’un exploit naval sans précédent, la Corse est libérée. Et libérée par les siens.
Le 11 novembre 1942, 80 000 soldats italiens envahissent la Corse.
Le général Giraud, commandant en chef des forces françaises d’Afrique du Nord, projette aussitôt sa libération. Dès le 14 décembre, grâce au légendaire sous-marin Casabianca, la mission  » Pearl Harbor  » est sur place pour renseigner Alger sur le dispositif ennemi et armer les patriotes, puis pour les rassembler – sur la base d’un Front national élargi – au sein d’une seule et même armée secrète. Ce sera l’oeuvre du Jean Moulin corse : le commandant Paul Colonna d’Istria.
L’annonce surprise de l’armistice italien ayant provoqué le soulèvement de la population, tout est à craindre d’une riposte foudroyante de la Sturmbrigade Reichsführer SS renforcée par la 90e Panzer en voie de débarquement. Il y a urgence. La Corse demande l’aide de l’armée.
À plus de 700 kilomètres de l’Afrique du Nord française et à la merci de l’aviation allemande basée en Sardaigne, l’opération  » Vésuve  » est un défi aussi gigantesque que risqué. Giraud décide de le relever. Contre l’avis des Alliés et du général de Gaulle, et malgré les plus sombres pronostics. En moins de trois semaines, ce qu’il reste de notre marine réussit l’impossible : transporter 8 000 combattants. Bastia est prise le 4 octobre. La Corse est libérée par les seules forces françaises.
Voici le récit de ce coup d’audace et de cette réussite spectaculaire.

POUR LES CITOYENS ET CEUX QUI LES GOUVERNENT
La France est menacée d’une nouvelle pandémie : celle du populisme, désormais à la porte du pouvoir. Ce virus mine l’exercice de la démocratie, paralyse les fonctions vitales de réforme et d’évolution, neutralise l’idée même de débat, et ses expressions risquent de couvrir celles de l’intégrité intellectuelle et de la mesure citoyenne.
Les réflexions sont nombreuses qui tentent de décrypter la résurgence à notre époque de ce phénomène idéologique. Mais sans doute ne s’intéressent-elles pas assez au citoyen, détenteur fatigué de la souveraineté, ni à la crise de la citoyenneté qui gangrène notre démocratie. Forts de leurs expériences respectives, Jean-Michel Arnaud et Jean-Claude Gondard en font le coeur de leur analyse, en scrutant les racines et les manifestations actuelles de la grande panne du collectif. Et, à défaut d’un vaccin contre le populisme, ils proposent un manifeste pour un renouveau du  » refaire communauté  » par la citoyenneté déconfinée, antidote à ce mode dévoyé du discours politique.